Le procès médiatique du Carlton ne débouche sur rien pour le principal accusé. Comme d’habitude, le contribuable savoisien participe financièrement et contre son gré à cette justice-spectacle.
Tout ce qu’il retiendra sera l’exquise courtoisie de ce témoin interrogé sur une éventuelle conversation avec l’ex-ministre :
« je n’ai pas parlé à DSK parce que je l’avais en bouche »
Évidemment, selon toutes les règles de la politesse française, cette dame sait qu’on ne parle pas la bouche pleine.
Pauvre justice du pays d’à côté !